Pour l’UNSA, il n’est pas concevable :
➢ de faire un amalgame du coût des NAO avec le coût des mesures imputées aux différents accords ;
➢ d’omettre, dans l’étude, les économies faites sur le passif social ;
➢ que le budget consacré aux augmentations individuelles et primes exceptionnelles soit intégré dans la même enveloppe que celui alloué à la négociation collective. Cela réduit fortement la marge de manoeuvre des partenaires sociaux.